Ah, bêtise pubarde quand tu nous tiens… L’amicale des crétins sanglés dans leurs certitudes et leur dandysme d’or a frappé via Causeur http://www.causeur.fr/touche-pas-a-ma-pute,24765
Mon vagin est mort avec Ingalls, mais l’esprit critique survit.
Point besoin, comme j’en ai eu souvent envie, de coller un autocollant « est allé aux putes » sur la bagnole avec siège bébé stationnée fugacement dans le bois de Boulogne : les mâles se sont couverts de ridicule sans aide extérieure.
Eh non, pauvres de vous, nous ne sommes plus dans un film d’Audiard avec prostituées compréhensives et furtif du dimanche, terminée l’époque de la misogynie tranquille façon Clérambard.
La réplique vous est arrivée, cinglante, des princesses du net et d'ailleurs .
Une plume aristocratique facebookienne a ajouté ce précieux commentaire : j'aime les connards, on peut jouer avec, les prendre, les retourner, leur faire des blagues, on peut même les manger tout crus, mais là, 343 d'un coup, c'est trop, c'est comme un lâcher de faisans d'élevage juste avant la chasse, c'est trop facile. Aaaaaah sale époque où l'anecdote règne en tyran..., où l'émotivité à 2francs CFA et le consumérisme de base aliènent la capacité à réfléchir à froid, et poser son raisonnement...
Cette belle amie, marquise de l'insolence et de la sensibilité, tient à ma disposition un magnifique catalogue de cons, relativement conséquent, type Manufrance. Qu'elle se rassure, mon lamentable catalogue personnel est annulé par Ingalls, mais je sais me souvenir...
A toi, pas même salaud, connu bibliquement dans une vie antérieure, tu aurais du écrire: "Touche pas à mes misérables problèmes sexuels". Cela aurait eu le triste courage de la réalité.
Que les 343 connards se contentent de leur portrait sur papier glacé façon Sieff, peut-être qu'en ces temps troublés le narcissisme primaire en réconforte quelques uns... Une chose est certaine: ils sont tous à fuir. Quand je vois leurs têtes, j'ai peine pour les langoustes.