Quand les Anglaises sont belles, elles sont inégalables. Et quand c'est La Taylor... Son deux fois ex-mari, Richard Burton, parlait d'elle en ces termes : "Liz est un rêve pour un homme... Un rêve pornographique".
J'avais lu l'interview du Gallois dans un magazine people, il y a un sacré bail. Précision : gamine, je lisais beaucoup de presse, surtout la crapuleuse que grand-mère achetait souvent - je suis incollable sur les pages people des Match des années 70 ! Donc, le père Burton s'y répandait avec émotion sur les étreintes Tayloriennes. Fichtre, quelle bombe, me disais-je en contemplant les photos du couple maudit. La Taylor, à l'époque des prémisses de mon adolescence, s'était déjà empâtée : raison de plus pour l'aimer. Avoir été aussi canon et s'en ficher à ce point-là dans une gourmandise post-ménopause, cela démontrait une nature pas si narcissique que cela. Un rêve pornographique? L'association des deux mots m'a longtemps laissée... songeuse.
La taille fine, le cheveux court, le regard myosotis, les lèvres rouge baiser et le visage fin comme un dessin de Gruau, la jeune Liz fut une splendeur.
Dans Cléopatre, on touche à son zénith (et à la chute de Mankiewicz, qui fit vaciller sa santé mentale en tournant ce lourd péplum).
Une image de clap de fin ? J'hésite...
La pine'up te salue, gay divorcee
avant que tu n'ailles balayer le ciel bleu.
Les plus beaux yeux du monde ! je pensais que c'était les miens !!!
Rédigé par : Elibéran | 23 mars 2011 à 19:57
Rassure-toi, fille aux yeux d'or, les tiens ne sont pas mal du tout...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 mars 2011 à 20:01