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03 février 2010

Commentaires

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Cath

Je vais de ce pas attaquer le chien rose en raison de la nature hautement plagiaire de ses excellentes lectures :)))

La lecture de la critique de Mister Depoil m'invite à penser à un pitch dans le pitch : le "héros" (que j'ai de plus en plus envie de rencontrer dans la rue pour l'applatir comme une esque) se bat comme deux diables contre l’inéluctable avancée de la vieillesse par de pitoyables artifices (QUE SEUL L'ARGENT PERMET). Imaginons un peu qu'il se soit fait, entre deux plateaux, proprement rincer par plus affreux que lui, un Madoff ou plus prosaïquement la banque Cortal et ses super plans épargne...
Voici notre héros à sec, mais toujours flageolant des bajoues. Comme un malheur ne vient jamais seul, son producteur commence à le regarder sérieusement de travers : une tronche pareille, pas bon pour l'audimat et pour l'audience qui fuit plus vite que notre amie Valérie à l'approche de la cane de Docteur House....

Comment faire ? (je vous le demande)

Et voit-y pas que ce pauvre bougre (Jacques) se prend pour le cow boy Malboro, nous fait une montée de testostérone et s'embarque dans un plan à la Vitteloni, avec pour complice Tony Musulin.

Car, oui.

Nous sommes en droit de nous interroger quand même. Où sont passés les deux millions toujours dans la nature à ce jour ?

Ben, quoi ?

Sur la gueule à Jacques bien entendu !!!

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