qui sont élégants. Les gravures de mode. Les dandys d’or. Les classiques audacieux. Oui, une note futile après la dernière qui était fort grave. Eh non, l’élégance masculine n’est pas totalement morte après le déclin de l’âge d’or hollywoodien (fin des années 50).
Nom d’un Savile Row, il existe encore quelques beaux spécimens. M’intéressant de très près à Gossip Girl ces jours-ci, l’élégant number one se nomme Chuck Bass (l’acteur, dans la vie, s’habille comme un sac pourri). Des idées pour les fêtes…
Ah, et n’oubliez pas cette phrase d’un prince du bon gout : « Pour avoir de l’allure, mieux vaut être un peu trop maigre ou un peu trop gros ; en aucun cas athlétique. »
A la charmante personne qui m’a soutenu récemment qu’un tee-shirt sous la veste rendait un homme sexy : c’est un truc de gay ; c’est peut-être sexy, mais cela n’est QUE sexy. Le QUE sexy ne m'intéresse pas, c'est la raison pour laquelle je préfère l'élégance anglaise à l'italienne.
Je ne suis pas chiffon. La faiblesse de mes moyens, ma taille et mon embonpoint font qu'aucun vêtement ne me va. Alors je fais sans, j'ai passé l'âge d'être sexy.
Rédigé par : Le Nain | 15 novembre 2013 à 12:19
C'était une note futile, une note sans grande importance...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 15 novembre 2013 à 12:44
cela étant, Le Nain, l'option Orson Welles n'est pas négligeable... un foulard, une chemise, une veste = gagnant.
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 15 novembre 2013 à 17:52
Mmoui, Orson Welles faisait 1,85m. C'est plus facile qu'avec 1,58m. Mais c'est sans importance.
Rédigé par : Le Nain | 16 novembre 2013 à 05:42