Un bijou, un caprice littéraire, un ovni désopilant que ce conte illustré... Il retrace la vie d'un hôtel particulier parisien de 1680 à nos jours. Exquis prétexte pour les précieux et les proustiens de faire leur miel d'esprit et de flèches. Plongez! L'art de vivre à la française éclate à chaque page, suprême ironie glaçant le tout telle une cerise sur le gâteau. Quel gâteau savourer avec cette lecture... Pour moi, cela sera un éclair au chocolat noir, petit et bien calibré.
Baisers de la pine'up qui aime Ingalls, la thune et le chocolat
A l'historien qui vient sur ce blog: cela ne peut que vous faire rire et vous divertir
j'aime ta plume : comme une porte qui claque !
Rédigé par : le lapsang fish | 19 février 2013 à 19:42
Je vais lire ce livre pour voir ce qu'il vaut. Je vais consulter aussi le dictionnaire historique des rues de Paris de Jacques Hillairet, la bible de ceux qui s'intéressent au vieux Paris pour voir ce qu'il en dit.
Rédigé par : Le Nain | 20 février 2013 à 10:38
Savez-vous quelle est l'unique avenue de Paris qui ne comporte pas d'arbres? et celle qui n'a ni numéro ni bâtiments?
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 20 février 2013 à 11:30
Il y a deux avenues sans arbres, celle de l'opéra, Garnier ne voulait pas que la perspective sur son oeuvre soit gâchée par des arbres, et celle des chasseurs dans le XVIIème.
Pour celle sans numéro, je ne vois que le quai des Tuileries, celui qu'on appelle désormais François Mitterrand.
Rédigé par : Le Nain | 20 février 2013 à 14:57
Combien de turnes dans l'hôtel de Thunes ?
Quand à l'avenue Dumessi elle s'arrêterait au n° 33 ...
Rédigé par : Dominique | 20 février 2013 à 16:46
Bravo pour l'avenue de l'Opéra, c'est effectivement la bonne réponse (pour celle de chasseurs, je ne savais pas). Pour la deuxième énigme, l'avenue parisienne qui ne comporte ni numéro ni bâtiment est l'avenue du Maréchal-Galliéni qui va du pont Alexandre III aux Invalides : elle est bordée de part et d'autre par la rue de Constantine et la rue Fabert, mais elle, elle n'a logiquement ni bâtiment ni numéros...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 20 février 2013 à 19:25