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28 septembre 2012

Commentaires

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L'amant-de-la-cousine-Bette

Fine dentelle tombée du réticule...

...comment qualifier autrement que "L'élégance,c'est le refus."

Avec une affection immense, voilà qui me ramène à ma soeur aînée, parisienne dans l'âme, qui citait régulièrement, :" il n'y a pas de femmes laides, il n'y a que des femmes paresseuses.."
Phrase assez forte pour être facilement retrouvée. Chaja Rubinstein, dite Helena R...,
Pourquoi diable seules les femmes proposent des approches "ouvertes" de la condition féminine ?

Je vous confie, car elle est plaisante, l'anecdote de mon "approche" de la haute couture.

Voici très peu d'années, une nièce, héritée de mon second mariage, convola en justes noces.
Parmi ses amis, un proche de JP Gaultier qui lui proposa de "faire" sa robe de mariée.
Peu fortunée, elle n'eut à acquérir qu'une pièce de tissu assez simple. ( pour moi.)
Elle nous présenta l'esquisse tracée à la diable...qui me renvoya à la caricature d'habits des prêtres polonais d'avant "Solidarnosc": un sac à patates percé de trois orifices, pour le cou et les bras.
Mais force fut de reconnaître, après passage de "l'atelier d'un Dieu" comme disait Brassens, que la robe était "unique" et radieuse.

Tout cela, aujourd'hui 29, me conduit à "découvrir" Héléna Rubinstein et Diana Vreeland... ma soeur et ma nièce
écarter légèrement un des innombrables voiles de la féminité.

Si simples seraient les choses...

Valérie Pineau-Valencienne

votre histoire me rappelle celle de mr Rockefeller achetant un chapeau pour sa femme... (mais je ne me souviens plus très bien , je vais tâcher de me rappeler les mots exacts)

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