J'ai inventé un nouveau concept : l'ariboïsme. Ou l'ariboitude, au choix.
Tout est parti des bobos. Etre "bourgeois-bohème" est une consternation: les bobos ont pris le pire des deux milieux qu'ils revendiquent. Des aristos ils ont la négligence voire la saleté et des bourgeois les conventions, les postures bornées.
L'aribo, lui, pique sa fantaisie, son sens du décalé brintezingue à la culture aristocrate. MAIS IL SAIT RANGER ET ENTRETENIR A COUP DE MIROR SES BEAUX OBJETS. C'est son côté prolbaque, son côté soigné (on devrait l'appeler ariprolbo mais c'est un peu long). Du bourgeois il a le goût du travail bien fait, des matériaux qui durent.
Essayer de concilier imagination, rigueur et soin, tel est mon chemin...
Baisers de la pine'up en plein rangement. Le vendredi au soleil est idéal pour réorganiser un bureau qui commençait à virer dangereusement bobo (ou dépressif).
Ps : les images suivront, au gré des caprices de l'ordi qui fait sa crise numérique
Et vestimentairement ton aribo se doit de porter une fraise ... tagada tsoin tsoin !
Rédigé par : Dominique | 23 mars 2012 à 19:09
Et tu sais ce qu'il te dit le petit pimousse ???? :-) :-) :-)
Rédigé par : hervé | 24 mars 2012 à 00:22
Bonne idée, je vais rationnaliser un peu mes bibliothèques, car je suis très, très bordelique, mais je sais où sont rangés en principe tous mes livres.
Pas de pot, ça fait une semaine que j'en cherche un, et je n'arrive pas à mettre la main dessus.
Sinon, je n'ai pas le droit de ranger, je n'y connais rien, je fais ça n'importe comment, ce n'est pas la bonne place, les hommes ne sont pas doués et c'est ni fait, ni à faire dit mon épouse.
Rédigé par : Le Nain | 25 mars 2012 à 01:49