Il était une fois une gamine à part. Polie, mais à part. une fois grandette, elle se maria à 19 ans... Pourquoi si jeune? Parce que c'était... VITAL.
eh oui, je ne suis pas douée pour le groupe, pas douée pour la famille. ce n'est pas la faute du groupe, d'ailleurs. c'est de ma faute. je ne peux plus supporter de voir une marinière ou un bol breton. le mot intégration me sort par les yeux.
Ingalls me manque, et j'aime le foisonnement de mes amies athées, musulmanes, juives ou chrétiennes, riches ou pauvres, vieilles ou jeunes. je suis trop bizarre pour porter l'uniforme - et c'est pas faute d'en connaître les codes. Pas trop orgueilleuse, puisque je sais que j'ai tort. juste trop bizarre. Trop "patchwork", donc condamnée à la frustration.
Baisers d'une pine'up qui se recroqueville dans son individualisme... sans rancune. mais quand on aime la liberté, il faut payer le prix en silence... je ne suis pas née quelque part...
je vous comprends, peut etre devriez-vous rentrer auprès d'Ingalls? A quoi servent de bons moments s'ils ne sont partagès avec lui?
Rédigé par : isa | 26 juillet 2011 à 15:52
C'est drôle, je réagis de la même façon quand je suis plus de 2 jours en famille... Est-ce parce que ca me ramène à une Armelle qui n'existe plus ?
Rédigé par : Armelle | 26 juillet 2011 à 16:56
C'est une jolie couleur que le noir pour un mouton.
Rédigé par : Le Nain | 26 juillet 2011 à 18:15
A propos de "Que reste'il de nos divorces", tu le sauras bientôt lors des primaires du PS avec Marie-Ségolène et François !...
Rédigé par : Dominique | 26 juillet 2011 à 23:04
Un seul être vous manque....bla bla bla. Alors à peine quelques jours à Kertrouduc et déjà le blues? Serait-ce le temps? Le vague à l'âme... le cafard... ne vous laissez pas abattre. Convoquez Ingalls, sacré ventre saint-gris!
Rédigé par : adamastor | 26 juillet 2011 à 23:22
Demandes Ingalls en mariage !tu as déjà la petite maison
Rédigé par : Eliberan | 27 juillet 2011 à 14:30
Bizarre ? Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre !
La bretagne, son climat, ses moeurs agissent comme un révélateur pour une parisienne libérée à laquelle manque son bucheron préféré.
Rédigé par : Gérard | 27 juillet 2011 à 14:43
Et si tu tirais profit de cette situation pour en faire le sujet de ton prochain bouquin ?
Rédigé par : Caritate | 27 juillet 2011 à 22:41