Déjà 300 posts... écrire un livre en un an est donc possible...
Hier, à un déj de blogueurs, nous parlâmes des souvenirs bd et musicaux qui cimentent les adolescences variées. Un grand gagnant émergea : René Goscinny.
Toutes ses trouvailles que nous répétons, de générations en générations, de "l'homme qui tire plus vite que son ombre" à la potion magique de mes rêves...
Que Goscinny soit venu de la pub pour envahir nos inconscients prouve qu'on peut transformer l'efficacité en évidence, et il l'a fait de la façon la plus magistrale qui soit : avec une poésie, une fantaisie, une qualité dans la quantité qu'on ne peut pas mesurer.
A quand un dictionnaire amoureux de Goscinny (allô, Plon ? vous vous souvenez de moi ?)
Plus que jamais on se cramponne à ce qui nous unit. A celui qui y est arrivé, mon hommage est forcément réducteur. Des Dingos Dossiers au petit Nicolas en passant bien sûr par Astérix et Lucky Luke, je scande chaque jour ou presque une phrase de René.
Comme Brassens est passé dans le langage courant (Audiard et Dard aussi), Goscinny a infiltré nos mémoires. Et sa géniale simplicité est encore plus difficile à atteindre que gagner le Nobel de physique.
Cet homme a embelli mon enfance grâce à son travail de titan. J'en ressens encore la générosité et la drôlerie inépuisables.
Baisers d'une pine'up qui trouve que "vilain cafard!" a plus de classe qu "enc...!" A chacun ses insultes, à la potion magique que je ne prendrai pas : je suis tombée dedans lorsque j'étais petite et ça peut être DANGEREUX pour ma santé (logique du message pour tous les gossiniens), et une wikipéderie pour la route:
René Goscinny,
né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 d’un arrêt cardiaque, est un écrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français.
Issu d’une famille d’origine polonaise de confession juive, il est mondialement connu pour être le créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas ainsi que le principal scénariste de Lucky Luke. Il est l’un des auteurs français les plus lus au monde, l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.
D'ailleurs, Ingalls a commandé hier au restau un "prince des mers à la sauce méditerranéenne";ce que c'est d' aimer les sardines à l'huile !
Aux connaisseurs : "Chaprot, venez au tableau !"
Bravo pour ce 300 ème et ce bel hommage; comme lui qui a bcp pulbié, dès le 301ème tu attaqueras donc le tome 2 de ton "journal": bonne continuation...
Rédigé par : elek | 22 octobre 2010 à 14:02
Mon père et moi nous amusons régulièrement à intégrer dans nos échanges quelques allusons aux perles de Goscinny. Celui qui ne sait pas reconnaître l'album et la situation est alors humilié comme il se doit.
Quel homme ce René!
Test:
"Je vous prendrais une grosse."
Rédigé par : Fredouat | 22 octobre 2010 à 14:04
Nom d'un Newton, Fred, je sèche !
Mais je t'embrasse avec un gros sourire de Bouillon.
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 octobre 2010 à 14:11
"une grosse", c'est quatorze quatorzaine.
Album "Le Chaudron", à la foire pour vendre des sangliers.
"Les beauuux, les beauuux, sanglieeeeeeeers!"
Le bouillon, c'est bien celui qu'il faut regarder dans les yeux? et que dans les patates y a des yeux, et que les patates, ça va dans le Bouillon? m'en souviens plus exactement, mais c'est une des seules anecdotes du Petit nicolas que je crois avoir retenue.
(je n'ai pas lu beaucoup de Petit Nicolas... désolé)
Rédigé par : Fredouat | 22 octobre 2010 à 14:15
Le Petit Nicolas, c'est plutôt ma jeunesse à moi :-)
Depuis, le Président et le film l'on remis au goût du jour :-)
http://www.youtube.com/watch?v=l0MJbsWCvkI
je sais, pour les puristes, les dessins se Sempé sont incontournables...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Petit_Nicolas
Rédigé par : elek | 22 octobre 2010 à 14:44
Un certain laisser-allez règne dans le camp de Babaorum (à vous)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 octobre 2010 à 15:30
Hum, je ne citerai pas l'album et laisserai les autres chercher, mais je peux affirmer qu'il s'agit d'une des premières, si ce n'est la première bulle de celui-ci.
Rédigé par : Fredouat | 22 octobre 2010 à 16:03
Fred, sans vérification, je crois que c'est dans "Obélix et compagnie" (toi y en avoir compris ? Le sesterce, y en a plus rien valoir du tout)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 octobre 2010 à 00:52
C'est effectivement dans "Obelix et Compagnie", un des rares albums ou Obelix et le seul cité dans le titre. Pourtant, on le sait que c'est lui le vrai héros! :D
Rédigé par : Fredouat | 23 octobre 2010 à 15:00
FFFarpait, Fred, tu es FFFFarpait
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 24 octobre 2010 à 18:06
"Dans mes braaas!"
Rédigé par : Fredouat | 24 octobre 2010 à 20:31
"Allez faire vos cochonneries ailleurs!"(esprit lutécien)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 24 octobre 2010 à 21:40
"les cochonneries, faut encore pouvoir se les payer"
Rédigé par : Fredouat | 24 octobre 2010 à 23:41
quoi ? tu n'aimes pas le sabot de cheval sauce betterave ? (approximatif)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 25 octobre 2010 à 13:27
Hum... sabots de boeufs aux fraises ou framboises si mes souvenirs sont bons. :)
Rédigé par : Fredouat | 25 octobre 2010 à 13:38
T'es trop fort pour moi, cochonnet
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 25 octobre 2010 à 13:41
Pas tant que ça, je viens de vérifier, me suis planté:
queues de castor aux framboises
sabots de boeufs à la crème.
Argh!
Rédigé par : Fredouat | 25 octobre 2010 à 13:43
Est bien fort(e) celui ou celle qui a à la fois la culture des BD et celle des franboises...
Rédigé par : Caritate | 25 octobre 2010 à 16:49