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01 mars 2010

Commentaires

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Cath

Mince, le billet que j'attendais et pour plusieurs raisons :
- j'y apprends que Jacques est bien le fils de Michel (je n'osais l'imaginer, je le redoutais, à présent, je le sais)
- Rohmer = idem ! et quel courage Valérie, car dire ça en public équivaut à déchainer l'ire des hordes bien-pensantes des curés du Temple !
- La Casta = pourquoi n'ai-je pu m'empêcher de songer à cette robe de Jane et surtout à Jane qui se baladait cul à l'air avec mille fois plus d'humour et de grâce ?
- ok pour le groupe FB !!! Tu peux dans la foulée en lancer un autre : "dis non à la fausse compassion et aux larmes de crocodile"
- les remerciements ? mais QUAND vont-ils enfin REMERCIER le public de les subir et les contribuables de les aider, ces andouilles ?

THAT'S ENTERTAINMENT ! Valérie, le retour et tant mieux. J'étais sur le point de relire Xono Blues après l'avoir récupéré des mains émues de mon cher voisin... émues et moites, hier soir, suite à la victoire du Canada au Hokeeeee :)
Ben, peut-être que je vais le relire quand même, tiens !

frieda

Bon, la bien pensance n'est pourtant pas mon truc, mais je sauve Rohmer ! :)
En revanche, sur Casta... Je comprends toujours pas. Je vais y revenir, hein, mais je suis dubitative. Pour le moins.
J'ai loupé Balibar et Luchini. J'ai eu que la dernière moitié. Mais une heure et demie, en même temps, ça suffisait comme ci.

Valérie Pineau-Valencienne

Frieda ! Non ! pas Rohmer ! je cite un critique de cinoche que j'adore, Jacques Lourcelles : " la série "comédies et proverbes" est peuplée comme le reste de l'univers de Rohmer de midinettes et de Marie-Chantal plus ou moins esseulées, bavardes, nombrilistes. Les comédies et proverbes se réfèrent à une riche tradition littéraire ; il y faut une fantaisie, une légèreté, une invention, un mordant dont Rohmer n'a pas idée ou plutôt n'a QUE l'idée. On a rarement vu un cinéaste mettre autant d'obstination à inscrire son oeuvre dans un cadre totalement étranger à ses capacités. Dans cette tradition, le texte, le dialogue ont bcp d'importance. Ceux des films de Rohmer oscillent entre deux excès également haïssables : le texte trop écrit, loghorrée rhétorique qui peut plaire à certains acteurs car ils y voient l'occasion d'un "tour de force" et le texte trop improvisé qui n'est pas un texte mais une succession fastidieuse d'hésitations, d'approximations, de redites héritées du cinéma vérité des années 60. Il y a dans les films de Rohmer de longs plans si vides, si embarrassants pour le spectateur qu'un réalisateur digne de ce nom ne les aurait jamais inclus dans un premier montage. Rohmer, lui, les présente au public avec une sorte d'impavidité ou d'inconséquence qu'il faut renoncer à qualifier".
Bon. pour moi, tout est dit ! (et si après on me taxe de complaisance...)

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