Je viens de me farcir l'intégrule du Dictonnaire amoureux du Rock du grand frère de Caunes - qui pourra m'expliquer pourquoi on dit "de Caunes" ou "de Gaulle" ALORS QUE MOMAN M'A SERINE QU'ON NE PRONONCE PAS LES PARTICULES. C'est Villepin, quoâ !
Alors, le verdict... Mmmhh, je rends hommage à la plume vive et alerte de môssieur Rapido, aux deux moments de rigolade pure (dont un sur James Brown) qu'il m'a procurés. Quant à la subjectivité de l'homme du PAF, il l'assume et c'est tant mieux mais tout de même, Tonio, il y a quelques aberrations et autres copinages, dans ta liste d'élus. ELUS. C'est là que le bât blesse : donne-moi les clés d'une misogynie aussi éclatante. Quasiment aucune rockeuse dans ce panel sacré. Raconte-moi, que t'a fait maman Joubert pour une telle omerta ? C'est louchon... Rien, nada sur Joplin. On peut ne pas aimer Janis, mais la zapper d'un dico pour y mettre Nina Hagen à la place (véridique), c'est limite surréaliste.
Autre instant de scandale : que vient foutre Téléphone, explique-moé, entre Stratocaster et Télévision ? On sent bien que cet éloge de groupe pauvret a été écrit laborieusement, avec un courage d'ami, qui salue avant tout la GÉNÉROSITÉ de la formation (générosité, un mot qu'on emploie quand il n' y a pas de talent). Et quitte à aborder les maigres résultats du rock français, (non! pas Stéphane Eicher!), là encore, pourquoi RIEN sur les Rita Mitsouko, probablement un de nos meilleurs groupes si ce n'est LE meilleur ? Heureusement que Bashung est là, mais faire l'impasse sur Ringer, on est pas loin du procès, nom d'un Innocents (je place Nataf bien au dessus d'Aubert)
Et même sur Cat Stevens (Resse va bicher), je ne situe pas ce troubadour génial dans un dico de Rock.
Mais qu'ai-je à dire, misérable libellule qui ne suis pas une mélomane accomplie. Après tout, mieux vaut être dévoré de remords dans la forêt de Forbach que dévoré de morbacs dans...
Et en dépit des ces lacunes, pauvre Cohn Caunes, je t'aimerai toujours.
Et en dépit de ces lacunes, ton dico est fort comestible.
Baisers d'une pine'up qui va écouter un peu de Chris Isaak. Ou de Neil Young.
Pour le coup, ne pas y trouver les Rita Mitsouko me plaît.
En revanche, Téléphone... Et pourquoi pas Indochine?
Rédigé par : Fredouat | 21 décembre 2010 à 13:27
bidon, ce type, comme Philippe Manoeuvre, des imposteurs-récupérateurs... à éviter
Rédigé par : J.Ch. | 21 décembre 2010 à 13:32
Tiens c'est drôle je suis dedans! Tu devrais noter qu'il y a un très joli passage sur Chrissie Hynde des Pretenders, pour calmer un peu ta colère féministe. Mais pour le reste, je suis assez d'accord avec Antoine, l'apport féminin à la grande histoire du rock, ne vaut pas tripette, dès lors qu'on n'est pas non plus OBLIGE d'aimer Janis (ou Patti Smith).
Pour le reste, veux tu que je réponde à ton interrogation sur les particules? Oui? tu veux? on ne la site effectivement pas en appelant la personne par son nom : on dit Villepin, Lamartine. SAUF! Si le nom est constitué d'une syllabe, ou de deux avec la deuxième muette : donc de gaulle et de caunes.
Le fait de citer la particule dans le nom signe un usage relaché de la langue, ou pis! d'un parler "peuple". Il y a un homme dont la particule est pourtant systématiquement associé au nom, y compris par les gens bien informés des usages, et on ne sait pas pourquoi (ou alors on le devine trop bien), c'est Villiers, ci devant ancien président du conseil général de Vendée, que tout le monde s'obstine à appeler DE Villiers, sans doute pour lui foutre dans les gencives ses origines.
Voilà, ne me remercie pas!
Rédigé par : Mossieur_Resse | 21 décembre 2010 à 14:28
Sinon, le principe de ces "dictionnaires amoureux", n'est pas d'être exhaustif, mais de laisser parler son coeur! il n'y a donc aucune obligation (ou interdiction) de parler de tel ou tel. Personnellement j'ai été heureux de trouver cités dans ce bel ouvrage, Leon Redbone qui est aussi rocker que moi danseuse étoile, et Randy Newman qui n'a avec le rock qu'une connexion de façade. Mais dans l'esprit, ils y ont leur place puisque le rock n'est pas qu'un STYLE musical. C'est une culture, un rapport artistique au monde et aux faits. Il aurait pu tout aussi bien y glisser des rappeurs comme Public Enemy, ou des folkeux pur fruit comme Richard Thompson ou Fred Neill. En ce sens, la présence de Cat Stevens (dès lors qu'il aime (j'allais dire "supporte") ses chansons, me parait tout à fait cohérente. Ensuite ce n'est qu'affaire de gouts...
Rédigé par : Mossieur_Resse | 21 décembre 2010 à 14:35
de Caunes avec Desproges, oui, quand il était avec José Garcia, maintenant aucun rapport, de l'esbroufe.
Rédigé par : J.Ch. | 21 décembre 2010 à 15:40
Ben je mourrai moins sotte (rapport aux particules élémentaires), merci, Resse. Pour le féminisme, tu l'as exacerbé !
Voix gnangnante : de ce dico, "disparues Faithfull, Carole King, Janis Joplin, Carly Simon, Joni Mitchell, Smith (etc etc)". Et si la soul, c'est un style rock, où sont-donc les incontestables divas du genre?
A J.Ch. : je suis un peu en terrain mouvant au niveau musique,le cinéma, c'est plus ma partie ; impostures ou postures, je ne suis pas très à l'aise pour en décider (alors que pour Walsh...)
Fred : les Rita, c'était le seul groupe un peu différent dans mes mornes 20 ans. Ou tu avais des paroles navrantes de pauvreté (Tél), ou une verbosité insupportable (Indochine et même parfois... Les Innocents)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 21 décembre 2010 à 16:09
Et c'est là que je me fais taper si je dis bien aimer Indochine, Téléphone.... ?
Rédigé par : Blandine | 21 décembre 2010 à 16:22
Blandine ! La bastonnade (ou le martifouette)!
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 21 décembre 2010 à 16:46
Blandine, il est des secrets qui ne doivent être révélés. :)
Rédigé par : Fredouat | 21 décembre 2010 à 16:47
Je soutien Valérie à propos des Rita Mitsouko et jette aux orties Indochine et Téléphone. Quand à de Caunes, j'ai totalement fondu devant lui en lui faisant dédicacer pour mon beau-frère son dictionnaire l'autre jour au Drugstore Publicis. Hum !!!
Rédigé par : Armelle | 21 décembre 2010 à 17:02
Le plus convaincant dans ton énumération "des grandes dames du rock", c'est le "etc etc" qui indique bien ta difficulté à citer d'autres noms... allez je t'aide? Sherryl Crow? La pétasse des Cranberries? Plus sérieusement je t'offre Joan Jett, Siouxsee Sioux, Joan Baez (défense de rire), les Runaways.
Le vrai truc, c'est effectivement que les femmes ont plus marqué par des voix que par un apport créatif pur. Des interprètes sublimes, OUI. O Combien! Mais une créatrice qui ait apporté le 10 eme de ce qu'ont apporté au rock -au choix-, Beatles, Stones, Dylan, Clash, Springsteen, Zappa, Burt Baccharach, Elvis Costello... Tu n'en trouves pas.
De sorte que si on ouvre la porte au jazz et à la soul, là, on a une légion d'interprètes talentueuses, de voix magnifiques, blanches ou noires. Aretha, Diana Kraal, Roberta Flack, Etta James, les Ronnettes, Tina T., Alicia Keyes, et celles que tu cites. Il faudrait faire "un dictionnaire amoureux des interprètes de chansons"... Là, tu auras toutes les femmes que tu veux.
Pour les créatifs, je ne vois que Patti Smith, et Laurie Anderson.
Rédigé par : Mossieur_Resse | 21 décembre 2010 à 17:11
De l'Aurore au Peary : "c'est fini, j'ai perdu". MAIS : explique-moi, ô-grand-Resse-puits-de-culture-musicale, pourquoi la quintessence du rock (je cite Lennon et Dylan), cité moult fois dans cet opus, je veux parler de LUI, LE KING, ELVIS, a été l'incarnation du genre sans avoir apporté autre chose que... SA VOIX... (héhé j'attends la réponse avec autant d'impatience que la fin du monde, c'est bon, le drapeau flotte sur l'aérolithe)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 21 décembre 2010 à 17:49
Mais Elvis, chère amie... Comment dire, C'est Elvis... euhhh... Comme Tristan Bior, c'est Tristan Bior...
Bon, sans rire, Elvis a apporté sa voix, mais aussi un physique, une démarche, un "sens de la vie". Il est le symbole, l'icone ultime. D'ailleurs, quand je disais que les femmes sont plus des interprètes, ça ne minimise pas leurs mérites (personne ne me fait pleurer comme Ella ou Billie), ça justifie une présence moindre, forcément, dans un ouvrage "panoptique". C'est pareil dans le jazz: les créatifs sont plus des hommes (ellington, davis, coltrane...) et les interprètes de génie sont plus souvent des femmes (fitzgerald, holliday, vaughan...) encore que sinatra, ça le fait aussi... Pfff, mais quelle chaleur, dans ces studios!!
Rédigé par : Mossieur_Resse | 21 décembre 2010 à 19:20
Pas facile de s'immiscer dans ce débat de professionnels de la profession, et si j'osais Capdevielle, hein juste pour voir !...
Rédigé par : Dominique | 21 décembre 2010 à 20:15
Au nom de la L.M.A (ligue des matrones atterrées), je courbe l'échine (fière Sicambre) : tu touches un point quasi philosophique, la créativité est-elle, au sens large (littérature,design, cinéma, poésie, chanson, mode, peinture, etc) plus masculine que féminine ? je serais tentée de répondre "oui". Considérant mes bulletins scolaires ("bcp d'imagination mais manque de rigueur"), j'ajoute toutefois que certaines femelles sont parfois dotées de fulgurances propres au sexe fort. J'avais oublié de mentionner Véronique Sanson (je crois avoir lu dans la maison ressienne qu'elle te collait des poussées de psoriasis) dont tu ne peux nier les talents de mélodiste, nan? Comme je l'imagine tu souris d'un rien, comme je l'imagine tu t'étrangles bien. "Le capitaine a eu un petit malaise" (intermède)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 21 décembre 2010 à 20:28
Toi mon ptit Fredouat, je te boude :p tu n'aides même pas une pov égarée sur twitter XD
Valérie, moi je veux bien être bastonnée mais... en matière de musique je rste amoureuse de Starmania !
Rédigé par : Blandine | 21 décembre 2010 à 23:50
Excuse moi Blandine, mais je pense ne pas te répondre par un simple tweet.
Je prépare un billet là-dessus! :)
Rédigé par : Fredouat | 22 décembre 2010 à 07:09
Je vais faire comme Dominique : et si j'osais Thiéfaine ?
Rédigé par : Caritate | 22 décembre 2010 à 10:10
Et je me rappelle aussi d'une tentative, (avec passage télé à l'appui, chez Danièle Gilbert si ma mémoire est bonne) d'un fils de Tino Rossi afffublé d'un T-shirt noir marqué "rocker" !
Même exilé à Bobo-Dioulasso et 35 ans plus tard j'en suis encore traumatisé ...
Vite un tonneau de vin de palme pour essayer d'oublier !
Rédigé par : Dominique | 22 décembre 2010 à 10:11
Ah Ah Véronique Samson!! Reste un vrai traumatisme cette (courte) période où elle fut mariée à l'un de mes guitaristes favoris, Stephen Stills, dont Antoine DC dit le plus grand bien, notamment de son sublime album Manassas, l'un des articles les plus réussis du livre... il faudrait l'appeler Véronique sans'l'son...
Rédigé par : Mossieur_Resse | 22 décembre 2010 à 10:17
Euh, Hervé, pardonne mon inculture mais... elle en a eu combien, des maris, la dame ?
Fredouat : Un... billet ? Ah j'oubliais, c'est vrai, c'est noël... tous les miracles sont permis !
Rédigé par : Blandine | 22 décembre 2010 à 10:57
J'ai deux Hervé, mon Depoil et mon Resse... Blague à part, je me demande pourquoi Depoil ne réagit pas illico à cette bronca anti-Véronique.
S'il ne s'y colle pas, je fonce : j'adore l'album Vancouver (pour moé un des meilleurs disques français, carrément), et je suis sûre que le grand Stills avait perçu l'immense talent de sa comparse.
A Blandine : réveiller le poussin, on peut parler d'exploit ! Fred, j'attends ton billet.
Caritate : j'aime bien Thiefaine, à petites doses (mais pas Capdevielle - pour Dominique, ni... Laurent Rossi, là, là, remets-toi. Ps : Danielle Gilbert fait ses courses au marché de Boulogne).
A Armelle : promets-moi qu'à notre soulerie du nouvel an, il y aura du Rita !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 décembre 2010 à 13:40
A Blandine: je lui en connais deux, le Stills déjà nommé, avec qui elle a eu son fils christopher stills auteur (à ce stade, on dit "coupable") d'un album navrant. Et le dénommé Palmade, dont il se disait qu'il était en réalité l'amant du fiston précité, mais les gens sont méchantes langues, et franchement, je m'en tape, mais d'une force!!!
A l'époque du lycée, il y avait les pop qui écoutaient du rock, et les variétoches, qui écoutaient ce qu'ils voulaient, le tout venant, c.jérome, mike brandt, que sais-je. entre les deux, certains de mes acolytes préféraient cette nouvelle poésie française où un leforestier barbu et antimilitariste voisinait avec des samson ou yves simon. Si j'ai depuis appris à apprécier le fox terier, et si j'ai de la sympathie pour le premier album d'yves simon et ses merveilles de juliette, Véronique Samsung constitue à mes deux oreilles un des pires supplices qu'on puisse m'infliger, bien avant supertramp et eagles, quelque part entre vingt minutes d'impro pure par yoko ono, et la reprise des oeuvres de léo ferré par la compagnie créole. De pire, je ne vois qu'un album de Cali. Ce n'est pas qu'elle soit nulle ou mauvaise ou médiocre. C'est juste qu'elle m'insupporte. C'est de l'allergie pure. un timbre de voix qui me donne immédiatement envie de hurler à la mort. Ca ne s'explique pas, ça résiste à toute analyse, et je ressepecte ceux qui comme Valérie cèdent à son talent... tant qu'ils ne songent pas à m'infliger la démonstration de sa réalité :)
Rédigé par : Mossieur_Resse | 22 décembre 2010 à 15:02
Si c'est une allergie vocale, je ressepecte :suis allergique à celle de Ferrat, que j'ai envie d'emplafonner immédiatement (pour moi, voix banale de garçon coiffeur avec un falsetto "et pour vous, quel brushing, petite madame") mais je saisis tout de même l'importance artistique du monsieur.
La voix de Sanson ne me gêne aucunement (je comprends certains rejets, voix "spéciale"), les paroles de ses chansons: je les trouve belles. Et ses mélodies... suis conquise, je passerai bien une nuit sur son épaule
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 décembre 2010 à 15:16
J'arrivvvvvvvvvvve la taulière ;o)
je m'immisce en général peu dans les débats "j'aime pas"... il y a tant d'énergie à donner pour parler de ceux qu'on aime.
Mais pour moi, cette grande dame de la chanson française a fait, en France, figure de prophétesse dans le désert de la musique au féminin qui caractérise l'époque de ses débuts. Auteur-compositeur-interprète, Qu'on aime ou pas sa voix (le "débat-débile" dure depuis des lustres, on peut difficilement contester sa musicalité unique.
Au delà de tout, cette femme est d'une générosité et d'une sensibilité artistique qui me parle au plus profond de moi. Ils sont peu nombreux ceux qui tout en restant d'une pudeur exemplaire auront été capables de chanter désirs et démons avec autant de force et de sincérité... C'est bien ça, être "rock" pour moi.
Rédigé par : Hervé | 22 décembre 2010 à 15:30
C'est exactement ce que je ressens lorsque je l'écoute... Allez, je m'attaque à la note prochaine : lire ou non les mémoires de Keith Richards
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 décembre 2010 à 15:57
Flûte, je crois que j'ai cassé l'ambiance en venant à ta rescousse ;o))
Rédigé par : Hervé | 22 décembre 2010 à 16:49
... je m'attaque à la note prochaine : lire ou non les mémoires de Keith Richards.
A lire le "teasing", on sent venir le jugement... bon, je n'interviendrai pas dans ce "débat débile" là, comme dit ton ami. On pourra appeler à la rescousse le très autorisé (par lui, en tous cas) Patrick Eudeline, qui en a fait la lecture attendue de lui, celle du fan désabusé-car-il-savait-déjà-tout. Sans doute la pire qui soit.
Rédigé par : Mossieur_Resse | 22 décembre 2010 à 16:57
Non, pas (trop) de jugement sur le Richards (ma formulation n'était pas bonne) : plutôt un jugement sur une époque (et encore)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 décembre 2010 à 17:15
Au de la de la zique des Stones, je connaissais très peu, très mal la vie et les avis de Keith Richards... j'avoue en avoir eu une vision très primaire "sexe, drogue et rock and roll". "Life" est alors sans doute le bouquin qui m'a le plus appris sur le Rock, dépassant tous les clichés, parce que décrivant des parcours de vie au delà de tous repères pour moi. Ce "road movie" sans tabou ne fait pas dans la simpliste bio de souvenirs, mais constitue pour moi une véritable ode à la musique et au blues en particulier en tant que berceau du rock. C'est sans doute ce qui a du gêner Eudeline : imaginer la légende vivante Richards raconter avec brio et passion la "crème de la crème" plutôt que se limiter à "Faire parler la poudre".
Rédigé par : Hervé | 22 décembre 2010 à 17:24
Arrête, Depoil, tu me piques mes argus ! en gros, j'ai bcp aimé, mais...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 décembre 2010 à 17:30
@ Caritate; Hubert-Félix fut quand même moins météorique que Jean-Patrick !...
@ Hervé (Resse, le vrai): c'est quoi les références de La Compagnie Créole chante Ferré ?
Rédigé par : Dominique | 22 décembre 2010 à 17:52
Dominique : tu fayotes...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 22 décembre 2010 à 19:34
@ Valérie: voyons, tu sais bien que cela ne me ressemble guère !
Et suspect, c'est pire que lèche-cul ...
Rédigé par : Dominique | 22 décembre 2010 à 19:50
@ Hervé & Valérie: à propos de Ferré repris par la Compagnie Créole, cela me rappelle un ami belge (où j'habitais) ne comprenant pas que d'une part les français puissent avoir un certain respect voir de l'admiration pour le Général De Gaulle et d'autre part que Brassens et Brel puissent se comparer (devinez qui était son "champion" ?).
Et un soir de discussion dignement arrosée, j'ai réussi à lui faire croire que Brassens avait enregistré un disque chantant des discours de Deux Gaules (Bienheureuse Tante Yvonne !) ...
@ Valérie: comment as-tu fait pour te rappeler que c'était LAURENT Rossi, aurais-tu l'intégrale de Danièle Gilbert ?
@ Caritate: j'en profite pour régler mes comptes ! Avec Hervé et Valérie comme témoins (voir Grincheux & Fed s'ils le veulent bien).
Quelque soit le talent de "ton" Jacques, eu égard à ma légère ventripotence je ne saurais jamais lui pardonner son propos dans "Orly" (pourtant magnifique chanson, laquelle tout comme Amsterdam, bien plus digne d'un clip que toutes les merdes dont on nous afflige) "...ces deux là sont trop maigres pour être malhonnêtes..."
Encore une stigmatisation !...
Rédigé par : Dominique | 23 décembre 2010 à 00:24
Dominique : j'ai la mémoire de l'inutile (Laurent Rossi)...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 décembre 2010 à 00:33
@Blandine et @Valérie
Je sais, je n'assure vraiment pas à ce sujet.
Mais je cherche un moyen de gérer tout ça, je vous assure!
Rédigé par : Fredouat | 23 décembre 2010 à 03:09
A Dominique: La Compagnie Créole chante Ferré. c'était un bon résumé de ce qui pourrait me donner l'immédiate envie de mourir. (Cela dit on a bien eu Renaud chante Brassens.Et à l'époque, ça m'avait paru une bonne idée!!!)
A Valérie: j'ai lu ta chronique du Life. J'ai été frappé par son humanité et son sens aigu (assez surprenant, vu l'histoire) de la famille. Etonnant.
Rédigé par : Mossieur_Resse | 23 décembre 2010 à 09:51
@ Hervé: d'une manière générale, je suis très primairement "anti-reprise", y compris Brassens par Leforestier, pour moultes raisons dont l'aspect récupération commerciale.
Ceci dit Pagny chantant Brel m'a plu, mais je préfèrerais toujours l'original !
Et ce malgré "Orly" ...
@ HerValérie: et pour me jindre à votre débat sur les "rockeuses", quid de Carla Bruni ?...
Rédigé par : Dominique | 23 décembre 2010 à 11:50
Ah, lady Carla! J'ai une anecdote à ce sujet qui me fait bien marrer. A l'époque de sa splendeur médiatique (quelqu'un m'a dit et tutti quanti), j'avais osé dire à un pote très trotsko-vive-la-révolution, qui se targuait d'être une pointure musicale: "quelle fadeur, cette soupe ! " ce qui était à contre-courant (les bobos se jetaient sur Carla Bruni et achetaient ses CD à tour de bras). je pensais qu'il allait approuver, eh bien, pas du tout : il a grommelé un: "elle est pas bête, y a quéqu'chose", suivi de "je donnerais n'importe quoi pour me la taper". J'en déduis que Nicolas a fait un nombre de jaloux incalculable, et que les médias ne lui ont pas pardonné ce "coup-là".
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 décembre 2010 à 12:46
Il ne faut jamais aborder les goûts musicaux...
La preuve, Dominique a perdu en une phrase tout le charisme que je lui prétais.
Pagny chante Brel... A écouter avec un sac en papier à portée de main, son port d'Amsterdam donne le mal de mer.
PS: je deviens vite un dictateur en puissance quand on parle musique ou films :)
Rédigé par : Fredouat | 23 décembre 2010 à 14:18
Et moi donc (dictatrice cinéphile)! Dans le bouquin de Richards, j'ai eu un semi orgasme quand il déchiquète Jean-Luc Godard. Mais on peut tb vivre une amitié, ou un amour avec des goûts différents. la preuve, je vénère Sanson (Resse se roule par terre) et j'adore la voix de Piaf qui fait hurler Ingalls à la mort. Quant à mon cher Depoil, je bénis notre complicité sansonnienne mais pour Keren Ann, c'est une autre affaire...
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 décembre 2010 à 14:30
@ FredHoëdic: tu as bien raison, pour garder une bonne amitié, il y a deux sujets à éviter, les opinions politiques et les goûts musicaux !
Même un supporter de l'US Dacquoise et un de du Stade Montois (voir même du Pédale Sport Tarusate de l'AS Soustons ...) resterons plus facilement amis qu'un pro Pagny et qu'un anti Pagny.
Et pourtant ai-je bien précisé préférer l'original ! (mais j'ai ommis peut-être de préciser ne pas être du tout fan du patagon).
Rédigé par : Dominique | 23 décembre 2010 à 18:19
Très chère Valérie, dans mon panthéon des chansons d'A, il y a les artistes qui m'aident à me reposer, et c'est le cas de Keren Ann (comme de beaucoup d'autres, de Cohen à bashung, en passant par Paulo Conte, barbara ou Moustaki et reggiani... Que sais-je encore ;o) mais réécoute Nolita à l'heure de la sieste et tu me comprendras). Et puis il y a les artistes qui me donnent de l'énergie (et "la" Sanson fait depuis longtemps partie de celles qui tiennent le pompon ;o)))
Rédigé par : Hervé | 23 décembre 2010 à 23:31
Depoil, tu ne perds rien pour attendre, foi de pseudo! car si tu n'as pas eu ton noyel,ami, je te réserve la biture du nouvel an, zizis sauteurs à l'appui.
ps : écris-tu en ce moment? j'aurais tant aimé te retrouver dans les foires aux vanités des salons du livre (je recommence la grande aventure dès mars, je crois que je débute par le Nord...)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 décembre 2010 à 23:53
Ah oui par Valencienne !...
Rédigé par : Dominique | 24 décembre 2010 à 09:23
Chouette ! Nouveau book Pin Up à se mettre sous la dent ?! Pour le moment, pas de nouvelle "horreur" commise sous mon vrai nom, donc pas de promo prévue (le dernier book signé bibi était une blague de potes), mais j'y reviendrai peut-être pour rigoler... ou me faire virer en beauté ;o)
J'attends la prose de la Pin Up avec impatience en tout cas ! Et le film "Chronos Blues" ou tu m'avais promis de la figuration en peignoir au bras d'une jolie nymphette, ça avance ?
très belles fêtes à toi
Rédigé par : Hervé | 24 décembre 2010 à 12:18