Ne sachant si je trouverai une fenêtre virtuelle chez les confédérés en Italie, ce billet festif est destiné à durer... qq jours. Et puis si je pianote durant les vacances d'Ingalls, notre couple aura du mal à survivre à l'été. Donc, l'été ! Et sous le soleil, les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics ont des pt'ites gueules bien sympathiques. Point ESSENTIEL des rapports physico-sensoriels, LE BAISER.
Dévoilons une partie importante des tiroirs à malice : le baiser, c'est sacré. Un homme qui sait bien embrasser a fait 50% du boulot.
Or les mâles, passés 20 ans, négligent ce délicieux préliminaire. Parfois ils retrouvent leurs réflexes à la soixantaine, pour aller explorer les amygdales d'une minette (spectacle atrocement gênant).
Ingalls : "tu fais quoi, là ?
- Rien, j'écris une note sur les mères infanticides !"
Je suis sûre qu' Elvis, avec sa grâce sublime et sa timidité calculée, devait être un as du palot. Et un palot, un vrai, ça demande de l'intuition et une lèvre ondulante. Bcp de femmes se souviennent plus des superbaisers que des superbaiseurs.
Action : faire attention, y aller doucement, bien poser les mains où il faut (hanches, joues, cou, creux des reins et surtout pas seins, tss, on n'est pas aux 24h), cf ces photos qui me font le même effet que le porte-J sur certaines personnes.
Fermer les yeux pendant, mais pas avant - cf le premier baiser en colo de Marcel Gotlib qui s'est avancé sans voir et qui a introduit sa langue dans la narine de sa proie (seul fou rire dans son autobiographie assez triste).
Ingalls : "tu crois que ça va les passionner, un post sur les malades mentales qui tuent leurs gosses ?
-Oui oui !"
Penser aux malheureuses pourvues d'une petite ouverture buccale, et bien poser les lèvres de façon à ne pas barbouiller un visage de salive. Et après, ne faites pas tournoyer votre langue ds tous les sens, allez-y à l'instinct ; plus ça dure, meilleur c'est.
Hélas, passé la quarantaine, l'être aimé en rentrant du boulot vous gratifie d'un smack léger en vous demandant distraitement si la journée a été bonne. Ergo, les vacances = rééducation des muqueuses.
Ingalls : "une mère infanticide ! quelle monstresse !
- Oui, oui"
J'imagine Ingalls au subtil déhanché posant ses lèvres purpurines sur les miennes...
- T'as fini tes idioties, je ne trouve plus mon maillot !
- Il est avec mes petites culottes mais d'abord, viens m'embrasser !
Baisers (chastes) d'une pine'up qui aime Elvis et Ingalls (normal, pour une pine'up)
Mais alors où est-il le billet sur les mères infanticides ?
Rédigé par : Dominique | 31 juillet 2010 à 09:54
That's all right, mamah !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 31 juillet 2010 à 11:45
Ils vont être contents, les Italiens, de te voir arriver... déjà ils s'en lèchent les babines, histoire de s'entraîner !
Le baiser, c'est très intime, peut-être plus que l'acte sexuel ; d'ailleurs, c'est pour cela que les putains ne se laissent pas embrasser, non ? Enfin, c'est ce qu'on m'a dit, je ne suis pas allée vérifier et je n'en connais aucune qui aurait pu me faire des confidences. Je trouve ce sujet très intéressant et je vais me lancer dans une étude approfondie, mais en théorie seulement ! Dans un premier temps...
Rédigé par : Caritate | 31 juillet 2010 à 16:29
le baiser, c'est l'acte des amoureux
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 31 juillet 2010 à 16:40
S'embrasser avec la langue c'est dégoutant. Je ne vois pas ce qu'on peut trouver de beau ou d'agréable là-dedans?
Bonne vacances
Rédigé par : Helene | 31 juillet 2010 à 20:45
Hélène, vous loupez un grand moment !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 31 juillet 2010 à 22:27
S'embrasser avec la langue, mais ça transporte au ciel, c'est l'extase, l'abandon, c'est le don total de soi et l'acceptation de l'autre dans son intimité, c'est l'échange, c'est ce qui permet à tout le reste de se réaliser dans les meilleures conditions, c'est un acte d'amour profond, c'est... c'est... J'arrête là, sinon... waouh !
Rédigé par : Caritate | 01 août 2010 à 14:15
Une promenade avec son toutou, un bon livre au coin de la cheminé avec ses toutous autour et un bon petit plat ca c'est génial. Désolé Valérie et Caritate, je n'arrive pas à partager votre passion.
Je pense que la vie monacale existe bien sans pour autant entrer dans les ordres ou être une vielle moraliste (comme dans "Le boulanger de Valorgue") tout de même.
Bonne soirée
Rédigé par : Helene | 01 août 2010 à 20:12
Valérie, Caritate a un nouveau commentateur encore plus fort que moi en contrepèterie.
Si tu as lu ses dernières notes, elle t'aura peut-être échappé, à propos de vin:
"les femmes aiment le goût du blanc et les fines appellations".
A toi de jouer !...
Rédigé par : Dominique | 02 août 2010 à 13:59
Oh Dominique! Mais bien tourner, chapeau. Effectivement, ce sera intéressant de lire ce que Valérie aura concocté (ou Caritate, voire les deux).
Bonne journée
Rédigé par : Helene | 02 août 2010 à 15:41
Sinon ton sujet du jour est loin d'être palot !...
Rédigé par : Dominique | 02 août 2010 à 17:19
Le doute m'habite et me possède : bonne fête Dominique !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 08 août 2010 à 16:32
Merci Valérie et bon retour !...
Rédigé par : Dominique | 09 août 2010 à 20:27