28 avril, c'est ma fête : vive moi. Mais Caritate ayant été scandaleusement aride sur ma personne dans son sacro saint éphéméride, à moi le boulot ! farfouillons dans la toile à la recherche de mes racines. Il y a deux saintes Valérie, la première :
Valérie, fille du duc Léocadius qui habitait à Limoges au IIIe siècle. Elevée dans la religion chrétienne, elle avait fait vœu de chasteté pour se livrer à une vie contemplative et refusa d'épouser Julius Silianus. Celui-ci, fou de colère, la fit décapiter. La légende dit qu'elle aurait pris sa tête dans ses mains et l'aurait portée jusqu'au Puy (sacrée balade !) à l'autel où Saint Martial célébrait les mystères.
Donc, je suis aristo et vierge ! le coup de la fille qui prend sa tête entre ses mains au sens littéral me va cependant assez bien.
La deuxième :
Valérie de Milan ( morte en 171) et son mari saint Vital de Ravenne (culte supprimé en 1969), martyrs à Ravenne, parents supposés des saints évêques Gervais et Protais.Dénoncé comme chrétien, Vital fut jeté au fond d'un puits et étouffé sous un tas de pierres et de sable. A quelque temps de là, Valérie fut battue et torturée au point qu'elle succomba à ses blessures deux jours plus tard.
A ce stade-là, je suis une vigoureuse matrone, ayant pondu deux évêques (ce qui me donne l'occase d'être sanctifiée). Très bon programme. Hélas, on tue mon époux (pauvre Vital/Ingalls qu'on a "désanctifié"en 1969, et pourquoi donc? !) et mon agonie a l'air insupportable.
Et si je mélangeais les deux ? Je prends le mari de la deuxième et je garde la tête coupée de la première pour foutre la trouille à tous les crétins obtus du voisinage ( je sauve Ingalls dans la foulée) !
En revanche, pour les gamins évêques, avec les miens c'est pas gagné...
La pine'up italo-limousine vous embrasse. Et pardonne à ses ennemis en ce jour magnifique (faux : un capricorne ne pardonne jamais).
Valérie est le
féminin du prénom Valère. Il est originaire du verbe latin valeo
: vigoureux, puissant (pas faux...)
Signification du prénom :
Votre prénom
révèle un certain dynamisme qui vous pousse à vous surpasser. Vous êtes
motivée et déterminée à atteindre vos objectifs (patience, patience, mais j'arrive lentement à mes fins...)
Vous aimez l'action, vous bougez tout le temps, vous aimez vivre à plein régime. L'oisiveté et la paresse ne vous conviennent qu'à très petites doses (Euh...)
Passionnée, vous sombrez souvent dans la démesure et l'excès (faux ! suis une personne nuancée et fréquentable).Vous ne prenez pas toujours le temps de la réflexion, vous préférez foncer (vrai). Cette attitude occulte les obstacles et les difficultés auxquelles vous vous confronterez (hélas ! vérifié et chèrement payé...)
Vous pourriez vous investir dans de grandes causes qui vous donneraient l'opportunité de vous réaliser (à voir).
Un brin idéaliste, vous vous complaisez dans les revendications (pas tant que cela...). Lorsque vous donnez votre opinion, vous apportez un jugement ferme et définitif (souvent). Vous satisfaire pleinement n'est pas chose facile (si : je suis tragiquement peu exigeante). Vous avez vos principes moraux qu'il ne faut pas transgressez sous peine de révolte de votre part :TOUT A FAIT VRAI
A BON ENTENDEUR, SALUT !
Bonne fête...
Rédigé par : Linda.S | 28 avril 2010 à 01:14
Merci, vamp du Périgord noir !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 28 avril 2010 à 01:16
(voix de Schtroumpf Grognon)
Moi je ne souhaite pas les fêtes.
Mais la dernière phrase de ta note me donne toujours plus envie de t'appeler Pygma, car nous avons apparemment en commun cette révolte indignée qui nous envahit lorsqu'un quidam vient à ne pas respecter ce qui nous semble être un principe indiscutable.
Rédigé par : Fredouat | 28 avril 2010 à 16:32
Respect au prince d'Aquitaine et à Pygma !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 28 avril 2010 à 19:52
Je ne souhaite pas les fêtes non plus, d'ailleurs personne ne me souhaite jamais la mienne qu'on sait pas quand c'est. Mais bonne fête !
Rédigé par : frieda l'écuyère | 28 avril 2010 à 23:20
chère Frieda, Cath m'a vendu la mèche, la la !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 29 avril 2010 à 00:52