Continuant la série "biographies des grands de la chanson", je me suis farcie la nouvelle dédiée à Leonard Cohen écrite par Ira Nadel (éditions du Rocher).
Si vous avez été bercée à la musique folk de Cohen, N'ACHETEZ PAS CE LIVRE, la chute est rude. Comment ? Quoi ? C'est ça, le Canadien superbe et génial, le grand communiant des spectacles fiévreux, ce minable pompeux queutard barré, odieux avec sa femme, geignard, constamment en dépression ? Comble du comble, le biographe, sans doute aveuglé par son amour pour le chanteur, publie en les commentant favorablement des poncifs du grand homme, tous plus consternants les uns que les autres ( à sa femme qui demande de l'attention il réplique : "tu méprises ma méditation " ou quand, le succès venu il réclame des minettes de 15 ans "car il n'a pas eu d'adolescence". ) Si l'interprète garde toute mon admiration, l'égoïsme insoutenable du personnage me dicte de foutre ce livre...à la poubelle. So long, Leonard, médite bien !
Et retournons vers les rockers plus généreux -je préfère même la mégalomanie masochiste d'un Elvis fin de règne à cette morgue des grand froids.
Si vous avez été bercée à la musique folk de Cohen, N'ACHETEZ PAS CE LIVRE, la chute est rude. Comment ? Quoi ? C'est ça, le Canadien superbe et génial, le grand communiant des spectacles fiévreux, ce minable pompeux queutard barré, odieux avec sa femme, geignard, constamment en dépression ? Comble du comble, le biographe, sans doute aveuglé par son amour pour le chanteur, publie en les commentant favorablement des poncifs du grand homme, tous plus consternants les uns que les autres ( à sa femme qui demande de l'attention il réplique : "tu méprises ma méditation " ou quand, le succès venu il réclame des minettes de 15 ans "car il n'a pas eu d'adolescence". ) Si l'interprète garde toute mon admiration, l'égoïsme insoutenable du personnage me dicte de foutre ce livre...à la poubelle. So long, Leonard, médite bien !
Et retournons vers les rockers plus généreux -je préfère même la mégalomanie masochiste d'un Elvis fin de règne à cette morgue des grand froids.
Je me suis farciE....
Tu as raison, merci de m'éviter ce mauvais détour, ce raccourci infâme, ce cul de sac sans nom...
Rédigé par : Cath | 14 décembre 2009 à 19:47
Ooops ! corrigé ! mais explique-moi la règle (une histoire de transitifs et intransitifs, ma syntaxe est approximative); on dit bien (femelle qui parle) : je me suis bien fait avoir ?
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 14 décembre 2009 à 20:14
Mais en même temps Valérie, pourquoi se faire du mal inutilement... Qu'est-ce qu'on s'en fiche au fond des biographies "à charge" concernant les artistes qu'on aime...
A quoi ils servent au juste les artiste, sinon à nous faire rêver, à nous distraire, à nous aider à apprendre, à grandir de part ce qu'ils sont capables d'exprimer dans leur art...
Est-on assez maso pour aller chercher ce que l'on à pas envie de savoir, c'est à dire que les artistes sont des femmes et des hommes avec les mêmes faiblesses que les autres... Je vis peut-être au pays des bisounours, mais moi je n'ai pas envie de connaitre la vie de COHEN, en particulier quand elle est écrite par des auteurs qui se "sentent" obligés de dévoiler la part obscure de l'homme pour faire plus "vrai". Alors tu as raison, jettes tout ça un panier, et réécoute tout COHEN en boucle, ca te fera surement plus de bien que ces torche-misère ;o)... ou alors jette toi sur des bios d'auteurs qui aiment vraiment l'oeuvre des artistes comme par ex ze bible de mon ami Gilles verlant "Gainsbourg bibliographie définitive", ça , ça fait un bien fou !!!!
Rédigé par : Hervé | 14 décembre 2009 à 20:39
Tu as mille fois raison, frère Tergal ; mais il se trouve que la bio était (soit-disant) écrite par un inconditionnel, un Verlant canadien en quèqu'sorte. D'où ma déception
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 14 décembre 2009 à 20:49