Je n'étais pas une fan. Mais j'avais tant aimé l'album Back to Black... Je n'étais pas trop au courant de ses errances. J'avais été cependant scandalisée qu'on puisse, de son vivant, oser parier sur sa durée de vie. J'ai lu beaucoup de choses ici et là sur la chanteuse. L'article qui m'a le plus intéressée fut celui de Nicolas Ungemuth dans le Figaro pépère de cette semaine. J'ai cherché sur le ouèb comment le retranscrire ici, je ne l'ai pas retrouvé et j'ai la flemme de le recopier. Ungemuth (un patronyme digne des scénarios de Goscinny) traite le fameux "club des 27" de niaiserie sensationnaliste et met à mal la mythologie de la soi-disant écorchée vive pour mieux souligner son grand talent. En la débarrassant des oripeaux de la mal aimée, il la sacre reine de l'émotion. Son article sent le chagrin, pas la pitié. Exactement ce que j'avais envie de lire.
j'ai réécouté Back to Black en cherchant fiévreusement sur Google comment me procurer d'autres articles d'Ungemuth. Mais le critique ne propose pas sa verve gratos... Je suis tombée sur son analyse de Gainsbourg à laquelle je n'ôterais pas une virgule. J'ai appris, candide parmi les candides, que cet article avait fait scandale et qu'il s'était attiré de solides inimitiés. Pas la mienne, j'ai toujours pensé que Gainsbourg était un brillant épate-cancre, pas un génie.
Si sur Google il est quasi impossible de lire la prose d'Ungemuth, sa photo est disponible ainsi que certaines interviews. Il a une tête ronde, des yeux clairs quand il ne les cache pas sous d'épaisses ray ban, le sourire en option et un dandysme limite... gainsbourien.
Cramponnée à la voix d'Amy, je contemple ses photos de mariage. Elle ressemblait à un sombre lévrier, maigre et grave, collé à un jeune homme au visage poupin. Certains toxicos ont des tronches de premiers de classe. Pas elle.
Baisers de la pine'up en mode alto
ps : Garageland sera une de mes prochaines lectures. Je sais, j'ai du retard.
Tu me permettras de préférer le style de sieur Ungemuth à celui de la défunte et de tous ceux qui masquent une indigence artistique et intellectuelle derrière des déguisements ou des postures sans lesquels les médias ne s'intéresseraient pas à eux.
Rédigé par : Dominique | 31 juillet 2011 à 18:34
J'aime bien le nouveau visuel et surtout la couleur de mon carré (ça s'appelle comment en langage geek ?) à gauche de mon commentaire !
Si Grincheux & Co veulent bien faire de même pour moi ...
Rédigé par : Dominique | 31 juillet 2011 à 18:51
Tu me prêterais Garageland ?
Rédigé par : aymeric | 31 juillet 2011 à 18:56
Faut d'abord que je l'achète, mais je te le prêterai sans pb
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 31 juillet 2011 à 19:43
Je ne connais pas Ungemuth, mais Wohlgemut est pas mal, Michaël de son prénom.
Rédigé par : Le Nain | 01 août 2011 à 11:14
Je suis allée voir qui était Michaël Wohlgemut. Nom d'un Dürer, beau portrait de vieillard
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 01 août 2011 à 11:24
Dürer fut un élève de Wohlgemuth.
Rédigé par : Le Nain | 01 août 2011 à 12:17
Ungemuth est le plus grand connard que la terre ait jamais portée sur le plan musical(ce qui exclue Adolf, staline et d'autres)
Mais Ungemuth, c'est vraiment le pus de l'abcès, la croote diu nez, l'hémorroide du rock.
La diarrhée verbale d'un virus.
En calir : Ungemuth est une grosse merde
Rédigé par : bilaoute | 22 janvier 2013 à 19:50
Mon précédent email a été écrit sur le coup de la colère à propos de ce taré d'ungemoumouth.
Désolé des fautes de frappe et de grammaire obligatoires après avoir créé un texte contre ce taré d'ungemoumouth. la tache du rock Francais...
Pourquoi le rock fançais n'a t il aucun succès à l'international?? Demandez à ce connard d'ungemuth pourquoi avec ses a priori de con
Rédigé par : bilaoute | 22 janvier 2013 à 19:58
Ne vous inquiétez pas pour l'orthographe, je suis loin d'être pro dans ce domaine. Mais j'aimerais bien que vous développiez : je ne suis pas du tout une fine connaisseuse du rock, Nicolas Ungemuth a l'air tout sauf sympathique, mais j'ai été assez intéressée par certains de ses arguments dans la critique. Par exemple, son analyse de Gainsbourg m'a plu. Bonne soirée
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 23 janvier 2013 à 22:12