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27 janvier 2011

Commentaires

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Gérard

Hugh ! Merci Perle de rosée ! Les signaux de fumée sont bien arrivés (Attention tout le monde va se ruer sur LePaf)

Valérie Pineau-Valencienne

Pow wow : Gérard, j'ai mis une Morteau à cuire au four, et non dans la casserole avec eau frémissante. Est-ce grave ?

Blandine

Sacrilège !

C'est malin maintenant j'imagine Valérie avec des plumes sur la tête, Grincheux en chef...

Arrêtez, vous allez me faire rire et quand on n'a pas le droit de bouger c'est mal !

patrice giorda

salut Valérie, hier un groupe de peintres amateurs est venu à l'atelier pour parler peinture. L'un d'entre eux, m'a parlé de toi, exactement du commentaire que tu as fait dans ton blog, sur ma peinture. Je viens donc d'y aller, et de le lire. Ca me touche que tu parles de ma peinture en ces termes. C'est aussi l'occasion de reprendre contact avec toi. A bientôtde te lire.
patrice

Valérie Pineau-Valencienne

Salut, Patrice. Je suis heureuse à double titre : reprendre contact avec toi et pouvoir te dire à quel point j'admire ton travail, ton don pour la lumière.J'ai la chance d'avoir en face de moi une place de Lyon qui est un des tableaux que j'aime le plus. Je ne me lasse pas de le contempler. A bientôt et bravo pour ton exigence ; pour ton art jamais opaque,jamais difficile à aborder. Cette simplicité est tellement dure à atteindre... Peu l'ont réussi avec autant de talent.

Mossieur-Resse

Ah oui, tiens. Un nouveau look, et nouvelle bannière demandée.
J'étions point venu depuis un moment, en phase de blog-out cause écriture pro prenante. Que reste-t-il de celui de mes parents, à propos? Il reste moi. Mes fractures. Mes constats. Mes bilans. Mes déficits. Des souvenirs d'enfance (didascalie: 2 péronnelles cathos chuchotant pour que le gamin n'entende pas, mais en réalité dans son dos IL N'ENTEND QUE CA) c'est le petit hervé X., vous savez... (silence) ses parents sont divorcés.... #honte, #stigmate (au sens propre, cette fois).

Valérie Pineau-Valencienne

Tout est bien compliqué... Mais l'homme le plus malheureux qui m'ait été donné de rencontrer avait des parents qui s'aimaient. Beaucoup. Problème : ces parents n'aimaient pas leurs enfants...

Blandine

Moi je me souviens du premier billet que j'ai lu de toi, Resse... un bel hoùmmage à ta fille.

Valérie Pineau-Valencienne

Pour certaines mères (j'en fais partie et j'en vois bcp en tant que parent correspondant), à la tristesse du divorce s'ajoute la culpabilité de voir les enfants souffrir à cause des parents. Avoir du chagrin = faire souffrir ses enfants. refaire sa vie et être heureux = faire souffrir ses enfants. On les aime, on fait ce qu'on peut mais on n'oublie pas le regard écarquillé des gamins brutalement confrontés à une insécurité. Jamais.
Ce livre n'est pas une franche partie de rigolade. Il ne justifie rien. il montre les maladresses et la tendresse en dépit des mutilations.

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