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01 septembre 2014

Commentaires

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Le Nain

Le bleu est la couleur la plus prisée en Occident, mais sa vogue est tout à fait récente et date du XIIème siècle, comme l'a montré Pastoureau dans son excellent livre "Bleu,, histoire d'une couleur".

nadine


http://youtu.be/Um_a3jsbQjQ

"fantaisie bleue"...les jeux de mots sur ce bleu,que tu aimes tant.
Belle chanson et beau texte,cadeau pour toi.
Pensées "bluemeuse"
Nad

nadine

Autre bleu, autre style. Je prends le risque.

http://youtu.be/JZE6pNcpi1o

Nad

Valérie Pineau-Valencienne

Tu as bien fait de prendre le risque! en revanche, le premier... j'avoue, je ne supporte ni sa voix ni ses chansons qui ont pourri mon enfance ni son univers ni tout (SORRY).

nadine

Idem pour moi, mais cette "chansonnette" jongle bien sur le bleu...quant au personnage, je m'abstiens de commenter car...
Douce et rieuse journée à toi ma vaillante avec ses belles fredaines.
Nad

nadine

parce que.....le haussement d'épaule à la fin du film et.

http://youtu.be/A6WrT3qIf90
nad

Valérie Pineau-Valencienne

Je n'ai jamais vu ce film... la scène est d'une tristesse ... argh !!!

nadine

Pour la joie, et parce que rien n'est plus beaux que les tangos dansés par les "anciens" sur les places d'Amérique Latine, sans TECHNIQUE surtout

http://youtu.be/DYKh3rA6phI

je t'embrasse valé.

Valérie Pineau-Valencienne

Pour moi, le bleu est la couleur du courage. Baisers

nadine

"Ces quelques heures passées avec Pierre m'avaient bel et bien entrouvert le ciel, elles y avaient planté des étoiles majuscules. Rien qu'un jour à longer ensemble la course du soleil et Pierre m'avait donné à croire; en la vie, en moi. Ce temps minuscule avait suffi à ce que j'imagine des lendemains sans peur; soudain, j'avais vu loin, par-delà la ligne d'horizon. Il avait donné du goût aux choses, j'avais en bouche et au cœur le sel, le sucre et les épices, le parfum touffu des premières roses de printemps. IL ETAIT LE BLEU DU CIEL sur mon épaule; il était en moi, inévitable, comme le sable n'échappe pas aux bras du vent.
Me le reprendre signifia d'abord un silence immense, un de ces néants immondes et repus qui se vautrent, lourds et épais, après le déluge....(je passe les lignes sur la douleur Valé)
Et puis, contre toute attente, un certain goût de vivre m'est revenu, tout au moins une illusion de goût de vivre. Presque malgré moi, je dois bien le dire. Il était pour ainsi dire inévitable : je n'échapperais pas à ma bonne nature. C'est que, je le sais après un siècle de vie, je n'ai pas le talent de la désespérance. Il y a ceux que le chagrin submerge et les autres qu'une énergie vitale embrase entiers. Ceux-là voudraient en mourir qu'ils n'y parviendraient pas. Nul héroïsme à cela, rien qu'un don pour l'optimisme.

A toi Valé ce texte tiré d'un livre que j'aime pour tant de raisons.
Je t'embrasse
nad
Nad

Valérie Pineau-Valencienne

Oui pour le chagrin qui submerge (et la colère...), oui aussi à l'excellent instinct vital que j'ai la chance de posséder.A la vie qui renaît, précieuse et colorée. Baisers ! !!

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