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31 janvier 2013

Commentaires

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Le Nain

Mes trois enfants sont nés aux Diaconesses, l'ambiance y était fort bonne, mais c'était il y a fort longtemps, 27 ans pour le dernier.

Valérie Pineau-Valencienne

je cous confirme que les 27 ans n'ont pas émoussé la bonne ambiance de ce lieu.

Schreiber Christelle

Et je trouve les mots pesés, emprunts de pudeur et de bonne éducation...le patient dans son pyjama n'a pas envie d'être là et si en plus il sent qu'il n'est pas le bienvenu, son séjour va être pénible....le fantasme de l'infirmière en prend un sacré coup !

Valérie Pineau-Valencienne

Les 35 h ont flingué l’hôpital. Vraiment.

Valérie Pineau-Valencienne

Christele : ça commence par le chewing gum qui n'arrange pas l'expression de visage, ça continue avec leur caractère bruyant, ça empire avec leur atonie et leur incapacité d'initiative, leur indifférence crasse à la souffrance. Et ça culmine avec cette phrase, alors que je demandais poliment de l'aide à l'une d'elles pour relever une personne: "chuis infirmière, z'avez qu'à appeler l'aide-soignante, c'est son boulot". Connasse. Vivement l'adorable bonne soeur à l'accueil des Diaconesses et la gentillesse à l'état brut du service.

fred

pas besoin des jeunesses socialistes pour dénoncer les dérapages homophobes, avec un peu d'attention et de bonne foi on arrive à les repérer facilement!

Valérie Pineau-Valencienne

C'est effectivement plus difficile (délicat?) de dénoncer celles et ceux qui maltraitent des gens qui n'ont pas ou plus la faculté de parler, de bouger, cad de se défendre. Mais rassurez-vous, je ne suis pas Agnan, je ne dénoncerai personne.

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